Un Choix Cornélien Pour Jules : « Tamara, Voit Ce Qu’Elle N’Aurait Jamais Dû Voir » Épisode 4/18

Après avoir vécu cet orgasme magnifique, Tamara resta quelques minutes, allongée nue sur le lit, en espérant que son chéri puisse lui faire revivre ces instants magiques, elle était toute chose et ne parvenait pas à bouger. Ce fut Jules qui se leva en premier et alla directement dans le frigo déboucher une bonne bouteille de vin blanc puis sortit deux verres qu’il remplit. Il avait rejoint Tamara installée au salon, dont le visage était radieux et souriant, assise sur le canapé les jambes repliées sur les coussins. Il lui tendit un verre en prenant place sur le fauteuil d’en face. Tamara était encore légèrement tremblante, son verre vibrait dans sa main :
— C’est un petit Tariquet, un excellent vin sec et fruité, si tonique, qu’il va te redonner la forme

Jules tendit son bras le verre à la main et ils trinquèrent à son premier orgasme. Tamara avait tellement soif, qu’elle avala la moitié de son vin blanc en une seule fois. Elle ne savait que dire et attendait que son ami prenne la parole mais Jules dégustait son Tariquet en remuant savamment ce liquide dans sa bouche, le faisant tourner avec sa langue :
— Vraiment excellent dit-il en la regardant. Tu as aimé ?

Tamara lui sourit, elle savait qu’il parlait du vin, mais elle voulait lui parler de son plaisir qu’il venait de lui donner :
— Oui...C’était magique, je n’avais jamais ressenti cela avant…Lui répondit-elle en buvant le reste du verre cul-sec. J’avais trop soif.
— Attention de ne pas te saouler Tamara ! Tu en veux un autre ?
Il fit comme elle et après avoir rempli les deux verres, ils dégustèrent leur vin, un moment en silence. Jules voulait en savoir plus sur cette fille qui le fascinait. Il était curieux d’entendre sa réponse :
— Tu n'avais donc jamais connu d'orgasme avec un homme. Tu es lesbienne ? Lui demanda-t-il subitement en pensant à Karine.
— Non ! Bien sûr que non ! Euh...Que vas-tu pensé là ? Dit-elle un peu vexée par sa question.

Euh…Oui ! J’ai déjà fait avec une copine de classe, mais non…
— Alors pourquoi ? J’ai bien vu que tu n’es pas frigide.

Tamara tardait à répondre, mais vu l’impatience et l’insistance de Jules, elle fit semblant de fouiller dans sa mémoire. Ne voulant pas dévoiler son secret, elle dit simplement :
— Je n'ai pas encore trouvé un homme à la hauteur... Les rares que j'ai connu ne pensaient qu'à leur propre plaisir... C'est tout…

Jules, s’apercevant que Tamara ne voulait pas s’étendre sur ce sujet, se leva, lui prit les jambes pour les redescendre, les écarta et s’agenouilla devant elle, lui léchant ses lèvres savourant le goût du vin blanc puis l’embrassa tendrement dans un baiser doux et sensuel. Sa main glissa sous sa jupe afin de venir fouiller entre ses cuisses qu’elle ouvrait franchement. Lorsque ses doigts, sous sa jupe rentrèrent en contact avec son sexe, il s’aperçut qu’elle était nue dessous. Tamara ne le quittant pas des yeux, vit son étonnement :
— Je n’ai pas pu remettre mon string, tu l’as pratiquement déchiré tout à l'heure. Dit-elle en riant

Jules poursuivit ses caresses en souriant, Tamara était quelques fois tellement naturelle qu’elle en paraissait niaise. Ce n’était pas le cas mais cela lui plaisait beaucoup. Il poursuivit ses caresses intimes, son doigté dans sa petite chatte qui mouillait déjà, avait l’air de lui plaire. Elle n’attendait que cela, elle avançait son bassin, à n’en pas douter, elle adorait sentir son majeur s’activé dans son vagin et Jules, les lèvres toujours soudées à celle de sa princesse poursuivait de plus belle, il désirait renouveler l’expérience de tout à l’heure, il avait l’impression qu’elle le demandait en silence. Il avait fallu beaucoup moins de temps avant qu’elle expulse une bonne quantité de liquide de jouissance sortant d’entre ses jambes pour retomber en pluie sur tout l’avant-bras de Jules qui regardait avec une certaine stupéfaction mais également avec une certaine satisfaction.


Il était temps pour lui de prendre son plaisir, à cet instant, il n’avait qu’une idée en tête, la pénétrer, posséder son corps, il estimait qu’il le méritait, Tamara serait bientôt à lui. Son envie devenant de plus en plus pressante, il enleva son tee-shirt, baissa son pantalon mais resta en slip, il tira sa princesse vers lui. Celle-ci l’avait admiré pendant son strip-tease :
— Tu es superbe, beau comme un dieu. Tes muscles, ton corps puissant et cette bouche. J'aime te regarder. Dit-elle en s’approchant de lui.

Tamara se mit à toucher du bout de ses doigts, les yeux, la bouche, le visage tout entier de son amant avant de se frotter contre lui. Ses mains descendirent sur ses épaules, son torse, ses hanches puis ses fesses. Elle aimait son beau cul musclé, elle le trouvait vraiment très sexy. C’était l’homme qu’elle voyait dans ses rêves les plus érotiques.
Elle passa ses mains sous le tissu de son slip et malaxa comme elle pouvait ses fesses charnues en glissant ses doigts dans sa raie. Jules était en pleine érection, il ne pouvait le cacher tellement le devant de son sous-vêtement était tendu en faisant une bosse énorme. Tamara plaqua son pubis contre son sexe qui semblait vouloir éclater le tissu fin de son slip. Il poussait des râles de plaisir et l'embrassa de nouveau :
— Hum ! C'est bon ! gémissait-il.
— Tu aimes ça ?

Tellement excité, Jules ne répondit pas à la question. Les quatre doigts de Tamara se trouvaient désormais entre ses fesses, pendant qu’avec l’autre elle caressait sa hanche. Elle sentait son pénis gonflé par le désir contre son bas ventre et commençait à bouger dans tous les sens, contre cette belle et dure verge qu’elle imaginait dans ses pensées :
— C’est bon de savoir que tu bandes pour moi. Dit-elle en se retournant.

Sans attendre de réponse, elle se retourna et plaqua son cul contre son pénis pour se frotter de droite à gauche pendant que les mains de Jules lui malaxaient les seins qu’elle lui offrait.
Collée ainsi à lui, la raie des fesses de Tamara prenait en sandwich son érection. Jules voyant Tamara aussi énergique et aussi audacieuse, fit comme il faisait toujours avec les filles qu’il baisait. Il lui demanda de se mettre à genoux espérant une fellation. Celle-ci ne sachant pas ce qu’il avait derrière la tête, s’exécuta, il baissa son slip qu’il jeta au milieu du salon puis vint se placer devant elle.

Fier de sa belle queue bandante, il faut dire que la nature l’avait bien gâté, il présenta devant le visage de Tamara, la vingtaine de centimètres de sa verge dure, droite, dont les veines étaient gonflées et le gland d’un rouge violacé, décalotté. La jeune martiniquaise n’en revenait pas, elle écarquillait les yeux, elle l’avait déjà pris dans la main dans la voiture, mais vu la pénombre, il ne lui avait pas semblé que ce sexe fut aussi gros.

Tamara eut un mouvement de recul, elle avait peur désormais. Elle s’était sentie prête à faire l’amour avec lui mais elle avait à présent une certaine réticence. Jules ne comprenait pas ce qu’il lui arrivait, sachant qu’elle l’avait déjà masturbé, il lui demanda très gentiment de la toucher. Il prit la main de la jeune femme et la posa sur la hampe de sa verge, elle ferma ses doigts autour et Jules de sa main posée sur la sienne la guidait. Elle avait aujourd’hui l’impression que cette queue avait doublé de volume en quelques jours, tellement elle la trouvait dure et épaisse.

Après quelques mouvements de bas en haut, Jules très excité, voulut passer à la vitesse supérieure. Il avança le bassin, sa queue n’était plus qu’à quelques millimètres des lèvres de Tamara qui prit une nouvelle fois peur, elle fit une drôle de tête comme si elle était dégoutée :
— Qu’as-tu ? Suce-moi maintenant. Lui dit-il tout naturellement.
— Non ! Je ne peux pas ! Se mit elle à crier

Tamara se retourna et s’allongea sur le tapis la tête dans ses bras, elle pleurait de toutes les larmes de son corps.
Jules ne savait plus quoi faire, son érection était tombée d’un seul coup. Tamara sanglotait et ne voulait et ne pouvait pas répondre aux questions de son ami qui lui demandait sans cesse et avec insistance :
— Pourquoi pleures-tu ? Qu’ai-je fait de mal ?

Jules était pris entre deux sentiments, il était en colère car il savait qu’il ne ferait pas encore l’amour avec Tamara ce soir : « Esquivait-elle une nouvelle fois ? » Se posait-il la question. Néanmoins, vu son comportement et ses pleurs, elle devait lui cacher quelque chose. Cette situation l’agaçait vraiment, surtout qu’il se sentait impuissant et culpabilisait. Rien de ce qu’il pouvait dire ne semblait calmer sa princesse. Il se décida donc de la laisser seule, pleurer sur le tapis. Il se rhabilla puis se servit un verre de blanc qu’il avala d’un trait.

Il se resservit et regardait Tamara qui semblait se calmer, elle avait encore quelques soubresauts au niveau de son torse, mais ne pleurait plus. Il but une nouvelle gorgée de Tariquet puis vint s’allonger sur le tapis à côté d’elle. Il passa sa main sur ses cheveux en l’embrassant tendrement dans le cou. Ne sachant que dire, il lui caressait délicatement le dos en passant le plat de sa main sur ses omoplates puis en descendant le long de sa colonne vertébrale, tout en lui déposant quelques bises sur la joue. Cela semblait apaiser un peu sa belle martiniquaise qui ne disait toujours rien. Jules tenta une approche, il se pencha à son oreille :
— Tu sais Tamara, tu peux tout me dire. Que t’arrive-t-il ?

Elle tourna légèrement son visage vers lui, n’osant pas le regarder droit dans les yeux, elle répondit :
— Je ne peux pas te dire.
Elle se leva brusquement et en se dirigeant vers le couloir, sans se retourner, elle dit d’un ton assez dur :
— Je ne suis pas encore prête. Tu comprends ça ? Finit-elle sa phrase en criant.

Elle mit son gilet, prit son sac posé sur le meuble à chaussures et sortit en claquant la porte, sans rien dire de plus. Jules resta pétrifié allongé sur le tapis. Lorsqu’il reprit ses esprits, il but le reste de son verre de vin blanc et se précipita sur le palier. Voyant les portes de l’ascenseurs fermées, il voulut prendre les escaliers mais il savait qu’il ne la rattrait pas en descendant à pieds les dix étages. Il revint chez lui, alla à la fenêtre de la cuisine. Il vit Tamara monter dans sa voiture, le temps qu’il ouvre la fenêtre pour l’appeler, elle avait déjà disparue dans la nuit.

Désemparé, il se resservit un nouveau verre de vin finissant ainsi la bouteille et s’allongea sur le canapé. Ses pensées n’étaient plus très claires, l’alcool faisait son effet, il avait bu bien plus que d’habitude et n’avait pas supporter cet abus. Il commençait à s’endormir, lorsque du bruit dans l’entrée lui fit ouvrir les yeux :
— C’est toi ? Que fais-tu là ? Demanda-t-il en bégayant un peu.

Karine en rentrant du restaurant, avait vu dans le hall de l’immeuble, Tamara les yeux rougis. Elle se doutait qu’il s’était passé quelque chose. Elle avait vu que le comportement de Jules avait changé depuis quelques jours, elle avait peur qu’il tombe amoureux de cette jeune et jolie martiniquaise. Cela l’exaspérait, elle avait bien l’intention de lui faire changer d’avis. Ce fut la raison pour laquelle, elle était passée chez elle pour se changer et s’était immédiatement précipitée un étage plus haut. Elle se mit assise du bout des fesses sur la petite partie restante du coussin et lui passa la main sur son visage en disant :
— Cette chipie te retourne l’esprit, mon petit chéri.
— J’ai envie de te baiser sauvagement. Hic !

Karine ne répondit pas, elle vit qu’il était un peu ivre. Elle alla dans la salle de bain, mouilla un gant de toilette et vint passer le tissu humide sur le front de son jeune amant. Puis elle lui déposa un baiser sur les lèvres en disant :
— Tu es sûr que tu pourras ?

Tamara habitait au sud de la ville, à l’opposé de celle de Jules qui lui, résidait dans la banlieue nord. Elle en avait pour plus de vingt minutes pour se rendre à son domicile. Elle roulait depuis près d’un quart d’heure, elle commençait seulement à reprendre ses esprits. Lorsque soudain, elle reconnut dans sa mémoire la femme qu’elle avait croisée dans l’entrée de l’immeuble. Elle n’avait plus aucun doute, c’était bien cette femme qu’elle avait remarquée à la brasserie de la place, regardant Jules avec insistance.

« Habitait-elle ici ? Pourquoi Jules ne lui avait-il pas dit ? Coucheraient-ils ensemble ? Tout en y réfléchissant plus profondément, cette Madame Marchand espionnait bien Jules à la brasserie de la place. Mais pourquoi ? » Toutes ces questions lui taraudaient l’esprit, elle remarqua qu’elle était bien jalouse. Aimerait-elle à ce point l’homme qui venait de lui faire découvrir la jouissance pour la première fois ? La réponse était oui, elle en était certaine désormais. Ne pouvant plus tenir, elle devait savoir. Elle prit la décision de faire demi-tour et de retourner chez Jules avec la ferme intention de lui avouer toute la vérité, elle serait ainsi libérée de ce poids qui lui taraudait le ventre.


Pendant ce temps, après avoir bu un café corsé que Karine avait fait, Jules reprenait des forces. Tellement excité quelques minutes plus tôt par une Tamara déchainée, il bandait de nouveau dans la bouche de sa voisine qui s’appliquait dans la fellation qu’elle lui prodiguait. Tandis que ses doigts à lui s’amusaient dans la petite chatte de sa maitresse qui mouillait abondamment. Ne pouvant plus attendre, il retira sa queue d’entre ses lèvres, prit Karine à bras le corps et la coucha sur le dossier du fauteuil dos à l’entrée de son appartement, avec force et détermination.

Sans plus attendre, il la pénétra violemment et avec de grands coups de reins puissant à la limite de la brutalité. Sous les petits cris stridents de la voisine, il allait et venait en râlant de plaisir. Les puissantes mains de Jules agrippait fermement la peau des hanches de son amante, sa grosse queue remplissait son vagin, puis ressortait presque entièrement avant de recommencer, plaquant ses bourses sur son cul. Lorsqu’il s’enfonçait à fond dans ses entrailles, Karine était comme folle, elle ne l’avait jamais vu dans cet état et c’était pour son plus grand bonheur. Elle jouit bien avant lui, tellement elle avait adoré ce jeu de sexe sauvage.

Tamara quant à elle s’était garée à la même place et était montée chez Jules. Devant la porte, elle se posa les questions : « J’y vais ou pas ? Comment va-t-il me recevoir ? » Ne sachant pas si Jules dormait ou pas, elle actionna doucement la poignée de porte, celle-ci n’était pas fermée à clé. Elle pénétra dans le petit hall d’entrée et à sa grande stupeur, elle vit le spectacle qui lui glaça le sang. Karine les bras ballants, sa tête presque écrasée sur le dossier du fauteuil et Jules de dos fiché en elle en poussant un grand râle de plaisir. Tamara venait d’obtenir ses réponses, elle tourna les talons en silence, repris l’ascenseur en pleurant et rentra chez elle, très en colère. Elle ne savait plus quoi penser, se demandant : « ce serait-elle trompée sur son compte ? »

Après une douche bien méritée, Jules et Karine discutaient dans le salon. La façon brutale qu’il avait utilisée avec sa maitresse pour se soulager de ses envies sexuelles, lui avait permis de calmer ses nerfs et l’eau tiède de la douche l’avait complètement requinqué de sa petite ivresse. Il lui expliqua tout ce que Tamara avait vécu dans la soirée et comment elle était partie. La maitresse jalouse de la jeune Martiniquaise, insistait dans ses reproches incessants. Après plusieurs tentatives, Jules ne parvenait pas à faire taire Karine qui continuait à rabaisser sans cesse Tamara, ce qui avait le don de l’énerver, lorsqu’elle tint des propos racistes, ne voulant plus entendre ses propos injurieux, il se fâcha :
— Dehors Karine ! Je ne veux plus te voir, c’est terminé ne remets plus jamais les pieds chez-moi.
— Tu le prends comme ça ? Tiens ! Voilà tes clés, ne me demande plus jamais rien.

Karine était partie en colère mais avant de franchir sa porte, elle regrettait déjà ses propos, elle n’aurait jamais dû réagir ainsi. Elle espérait que Jules ne lui en tienne pas rigueur et elle ferait tout pour qu’il redevienne son ami, son amant et le prof de sa fille. Quant à Jules, qui n’avait pas vu l’incursion de Tamara dans son appartement, avait prévu de lui téléphoner le lendemain pour avoir une explication avec elle, il devait savoir ce qu’elle lui cachait réellement. Karine sans le vouloir, lui avait ouvert les yeux, il savait dorénavant qu’il était amoureux de sa princesse des îles.


Nous verrons la suite dans un prochain récit.

Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si vous aussi, vous avez envie de raconter vos histoires d’amour ou de sexe, contactez-moi par e-mail, avec votre aide, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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